BIC x Thomas Lélu :
une collaboration artistique autour du mythique stylo BIC 4 Couleurs
Du stylo à la pensée : un dialogue entre l'objet et l'esprit signé Thomas Lélu
Une collaboration exclusive où l'artiste Thomas Lélu exploite pleinement l’iconique stylo BIC 4 Couleurs en y apposant ses phrases-signatures. Chaque stylo devient le support d’écriture de ses pensées minimalistes, reflet de son travail mêlant humour, langage et détournement. Résultat : cinq stylos à la croisée des chemins entre outil d’écriture et support d’expression !
Une collection exclusive de 5 stylos BIC 4 Couleurs signés Thomas Lélu
À mi-chemin entre création artistique et objet du quotidien, cette collaboration inédite entre BIC et Thomas Lélu donne naissance à une collection de 5 stylos BIC 4 Couleurs pas comme les autres. L’artiste contemporain, connu pour détourner le langage avec humour et justesse, appose ici ses phrases-signatures sur un support universel : le stylo bille.
Avec cette collection, Thomas Lélu transforme l’acte d’écrire en geste artistique. 5 stylos, 5 messages : des punchlines signées Thomas Lélu sur l'objet le plus universel : le stylo BIC 4 Couleurs. Une série de stylos à collectionner, à offrir, ou à garder pour soi, comme une petite œuvre de poche.
Interview exclusive de Thomas Lélu
Qu’est-ce qui vous a amené à travailler avec le stylo bille dans votre pratique artistique ?
J’utilise le stylo bille depuis que je suis enfant. Plus tard dans ma pratique artistique associée au langage et à l’écriture, j’ai réalisé des travaux avec toute sorte d’outils dont le stylo bille mais il n’était pas encore au centre de mon activité. C’est en 2020 durant le covid que j’ai mis en place un protocole : noter une phrase minimum chaque jour sur des carnets. Un rendez-vous avec soi-même que je partageais ensuite avec ma communauté sur les réseaux sociaux.
Pourquoi un stylo BIC ?
Le stylo BIC est iconique, il est hyper identifié, il parle à tout le monde. Je souhaitais une forme d’universalité dans mon champ de représentation. Par ailleurs j’aime particulièrement son usage et sa graphie. Son aspect rond, doux, ses aspérités le rendent humain mais aussi un peu fragile, abîmé, imparfait.
Le stylo BIC a-t-il une valeur symbolique particulière dans votre art ? Que représente-t-il pour vous ?
Il est d’une certaine façon le prolongement de l’identité humaine dans ce qu’elle a de plus nu, le BIC ne triche pas, il ne prétend pas, il est honnête, il est humble, simple, sympathique, toujours là quand on a besoin de lui. Le BIC est fidèle.
Est-ce que le caractère démocratique et accessible du BIC a influencé votre choix ?
Oui définitivement. Le BIC est populaire, il est engagé mais surtout il est apolitique, il est cinétique et toujours moderne. Le BIC est aussi une icône, plus qu’un symbole, c’est un objet star.
Avez-vous un souvenir ou une expérience marquante avec cet outil dans votre enfance ou votre parcours artistique ?
Oui enfant j’étais fasciné par Lucky Luck et je tentais de reproduire son profil mais dès que le profil était « raté » je recommençais. Je faisais ainsi des piles entière de tests de profils de Lucky Luck. Des collections de ratés donc que mes parents ont conservé pendant longtemps. Une tentative infinie et à jamais inachevée.
Qui est Thomas Lélu ?
Artiste contemporain français et auteur de fictions, le travail plastique de Thomas Lélu a été exposé dans de nombreuses galeries et musées à travers le monde. Il a notamment été montré chez Yvon Lambert, à la galerie Bugada & Cargnel, chez Appalazzo Gallery à Brescia ou encore au musée d’art Moderne de la Ville de Paris, au Palais de Tokyo ou à la Fondation Cartier.
Comme auteur de fictions, il a publié cinq romans dont Le Parisien aux éditions Flammarion mais également des essais comme Le manuel de la photo ratée édité chez Léo Scheer, After chez Sternberg Press et "I have no idea what I'm doing out of bed" chez Rvb Books. Formé à l’Ensad, Ecole nationale supérieure des arts décoratifs, il a d’abord travaillé comme directeur artistique pendant de nombreuses années à l’Atelier de Création graphique de Pierre Bernard puis aux Graphistes Associés avant de poursuivre sa carrière dans la presse de mode et la publicité.
Aujourd’hui, il collabore avec de nombreuses marques de luxe et sportswear comme Hermès, Cartier, LVMH ou Puma. En 2020 il ouvre une première galerie à Paris, La Cité et il a été également commissaire d’exposition des résidences des Hôtels Amour à Paris et Nice. En 2025 il publie un nouveau livre avec Lee Shulman (Anonymous Project) aux éditions JBE Books.